Oiseaux-balades

Oiseaux-balades

Séjour en Équateur : Jour 6

                  

Ce matin, je me lève à nouveau de bonne heure alors que tout le monde dort encore et je quitte la grande chambre communale pour me retrouver devant le lodge.

   

Hier soir, nous sommes arrivés alors qu’il faisait déjà nuit noir et sous la pluie pour notre installation.

     

Une espèce de carré de verdure entouré de grands arbres s’étale devant moi, ce qui interdit toute visibilité au-delà.

     

Je longe donc le petit chemin qui me conduit vers l’entrée de la propriété et au passage, je jette un œil sur le petit ruisseau qui sépare les parcelles afin de voir si une bestiole ou une autre ne se cache pas là.

     

Les bruits de la nuit commencent à s’estomper alors que ceux du jour débutent et la première observation de la matinée est celle d’un Calliste à cou bleu (Tangara cyanicollis) en train de faire sa toilette.

  

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Calliste à cou bleu (Tangara cyanicollis)

     

L’idée de partir en vadrouille me vient à l’esprit et je ne tarde pas à repérer des Tangaras à bec d’argent (Ramphocelus carbo), puis quelques Hirondelles Bleu et blanc (Notiochelidon cyanoleuca) pour les moins remuants.

     

Pour les autres oiseaux qui fusent de part et d’autre, je tente quelques photos souvenir puis après un bon moment, je rebrousse chemin pour m’apercevoir que la plupart des personnes de notre groupe sont rassemblés en attendant le petit déjeuner.

     

La collation matinale faite de confitures et viennoiseries maison, est succulentes et c’est le moment de faire connaissance avec la jeune femme qui va nous servir de guide pour la journée.

     

Le temps que les retardataires aillent chercher leurs derniers effets, elle installe une longue vue en batterie pour une miroise de Pionne noire (Pionus chalcopterus) qui se nourrit juste dans l’arbre d’en face.

     

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Pionne noire (Pionus chalcopterus)

     

Des Fourniers cannelles (Furnarius cinnamomeus) en couple, ici aussi, ramassent des feuilles mortes au sol pour en faire une construction afin d’abriter leur future couvée.

     

Encore une fois, Julien s’évertue à expliquer le programme de la journée qui se déroulera en deux parties distinctes, une balade en forêt.

     

Les observations se feront en restant sur la route et la seconde dans une zone humide à la recherche d’une espèce phare du secteur pour la matinée.

     

Dès l’arrivée du minibus sur notre premier site de miroise, notre chauffeur nous montre un Motmot roux (Baryphthengus martii) qui se tient perché à quelques distances.

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Motmot roux (Baryphthengus martii)

   

Puis la promenade débute vraiment, la forêt dégage une véritable cacophonie de cris, de chants et de bruissements en tout genre.

     

Le milieu est tellement dense qu’il interdit toutes observations au-delà de quelques mètres et la brume n’arrange vraiment pas les choses et nous rappelle par sa présence le simple nom de « Forêt de nuage » qui prend tout son sens ici.

     

Tout de même, beaucoup d’oiseaux viennent en curieux ce qui permet des rencontres avec des Anabate à lunettes (Anabacerthia variegaticeps) accrochés sur des palmes ou des Parulines triligne (Basileuterus tristriatus) cherchant des insectes près du sol.

    

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Paruline à gorge orangée (Setophaga fusca)

          

La Paruline à gorge orangée (Setophaga fusca) n’est pas en reste bien qu’évoluant plus haut dans les branches.

     

Un Organiste à ventre orange (Euphonia xanthogaster) ravi la plupart des observateurs dont je suis, rien que par sa présence.

     

Quelques instants plus tard, toujours dans la brume et haut perché, c’est un Motmot à bec large (Electron platyrhynchum) qui provoque l’émoi, mais dans le bon sens du terme.

   

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Motmot à bec large (Electron platyrhynchum)

    

Un troglodyte local bien trop rapide pour moi, se défile sans demander son reste et disparaît aussi vite qu’il est apparu.

     

L’arrivée dans une zone plus ouverte du fait d’une trouée nous offre plusieurs espèces comme le Tangara dos de citron (Ramphocelus icteronotus) ou des Araçaris à bec clair (Pteroglossus erythropygius).

     

À quelques pas, plusieurs Toucans tocard (Ramphastos ambiguus) se posent et commence à faire du remue-ménage assez haut dans les branches.

     

Dans le même groupe d’oiseaux, mais entièrement vert, c’est le Toucanet à croupion rouge (Aulacorhynchus haematopygus) qui fait son apparition, nous le reverrons encore mieux plus tard.

    

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Toucanet à croupion rouge (Aulacorhynchus haematopygus)

     

Nous continuons à crapahuter un moment et les observations continuent à bon rythme, ici un saltator sp, là le Bruant chingolo (Zonotrichia capensis), ailleurs le Troglodyte familier (Troglodytes aedon)

     

La jeune femme qui nous guide, nous mène vers un spot où un grand pic local est souvent contacté, " le guayaquil ", mais seule la personne à l’avant de notre groupe, aura la chance de l’observer.

     

On pourrait continuer durant des kilomètres sur cette petite route et y trouver de l’intérêt tous les cinq mètres, mais la décision est prise de changer de site.

     

Nous laissons donc les Tangaras évêques (Thraupis episcopus) que nous venons de découvrir pour retourner vers notre moyen de transport.

     

Pour le pic du secteur, il eût été préférable de rester avec notre chauffeur, car lui a eu l’opportunité d’en faire la rencontre et mieux que cela, de réussir une superbe vidéo.

     

Arrivé sur la zone humide, la végétation est tout autre bien sûr et sur la grande place où nous sommes garés, la première espèce contactée est la Moucherolle aquatique (Fluvicola nengeta) cherchant au sol quelques pitances à emporter.

     

Plus loin au sommet d’un arbre, plusieurs Aigrettes neigeuses (Egretta thula) s’agitent et créent de l’agitation.

     

Dans un autre arbre au-dessus de nous,  une « feuille » différente des autres, s’anime plus que de raison, une photo réflexe permettra à Julien de l’identifier comme une Tersine hirondelle (Tersina viridis).

    

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Tersine hirondelle (Tersina viridis)

     

Puis les observations se suivent et provoquent encore un ravissement certain, le Calliste rouverdin (Tangara gyrola) mâle en plumage nuptial est sublime.

     

Un arbre formant un petit îlot central accueil à son sommet un Oriole leucoptère (Icterus graceannae) de toute beauté dans son plumage contrasté noir et or.

     

Les espèces inconnues se succèdent les unes aux autres, je prends des photos pour tenter de m’y retrouver plus tard, encore bien assez heureux d’avoir révisé avant le départ de France.

    

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Calliste rouverdin (Tangara gyrola)

     

Les abords d’un ruisseau avec une roselière, ne donnent pas grand chose malgré l’attrait certain du site et c’est l’un des spots favorables pour la Caurale.

     

Après plusieurs tentatives de repasses, pas l’ombre de la queue d’un rayon de soleil en vue, nous continuons donc sur le chemin pour accrocher du regard, un Calliste doré (Tangara arthus) lui aussi vraiment resplendissant.

     

La balade se poursuit en passant à côté d’une sorte de mare, où nous voyons quelques Sporophiles à ventre jaune (Sporophila nigricollis) ainsi que d’autres passereaux fuyants.

    

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Sporophile à ventre jaune (Sporophila nigricollis)

     

Le chemin accusant plusieurs coudes, nous, nous rapprochons un peu de l’oriole, toujours perché au fait de l’arbre où nous l’avions repéré plus tôt.

     

À nouveau des callistes, ceux à col bleu, puis un Pic or-olive (Colaptes rubiginosus) à bonne distance pour une observation collégiale.

   

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Pic or-olive (Colaptes rubiginosus)

       

Plus loin, un cousin le Dacnis à coiffe bleue (Dacnis lineata) saute de branche en branche et un second oiseau de l’espèce rejoint le premier pour ce qui ressemble à une offrande de nourriture.

     

Dans les airs, un rapace décrit des cercles, il est bientôt rejoint par un second, puis par un couple formé.

     

Les quatre Milans bec en croc (Chondrohierax uncinatus) paradent par paire chacun de leur côté, mais à faible distance les uns des autres, au point de réussir à cadrer à un moment le quatuor d’oiseaux de proies pour notre ravissement.

  

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Milans bec en croc (Chondrohierax uncinatus)

     

En revenant à notre hauteur, nous apercevons une petite flèche sombre passer rapidement et stopper net, les jumelles collées au visage et nous décelons une Ariane à ventre gris (Amazilia tzacatl).

     

Plus en hauteur dans les branches, un Cassique cul jaune (Cacicus cela) pousse des cris d’alerte contre nous ou contre quelque chose d’invisible de notre position.

     

Des tyranneaux non reconnus sur le moment seront photographiés ainsi que d’autre passereaux de toutes tailles.

     

Personnellement, je n’y prête guère attention, mais ici, les plantes et les fleurs sont splendides et Malou qui reste avec moi, me le fait souvent remarquer en me montrant ses superbes photos.

     

Puis à un moment où ceux de devant, font une halte, nous les rejoignons pour voir évoluer une ronde de plusieurs espèces de petits oiseaux et soudain, c’est le branle-bas de combat.

     

Un gros volatile vient d’être repéré perché à bonne hauteur et Julien d’annoncer une Pénélope panachée (Penelope purpurascens).

  

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Pénélope panachée (Penelope purpurascens)

     

La rencontre est indescriptible, tout le monde en veut de son observation ou de sa photo, voir les deux, car l’oiseau nous laisse un peu de temps pour l’admirer.

     

Nous restons là encore un bon moment puis nous redescendons vers notre véhicule avec encore de belles et inconnues observations.

   

Le Tangara à gorge jaune (Chlorospingus flavigularis) ainsi que le Dacnis à coiffe bleue (Dacnis lineata) puis, le Synallaxe de Cayenne et enfin le Tangara bifascié (Piranga leucoptera) viennent allonger un peu plus notre liste d’observations de la matinée.

 

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Tangara bifascié (Piranga leucoptera)

     

Juste avant d’arriver sur la petite mare, un groupe de Tangara des palmiers (Thraupis palmarum) passe au-dessus de nous puis un Sucrier à ventre jaune (Coereba flaveola) solitaire lui, se pose, pas trop loin de nous.

     

Dans l’herbe rase au bord du plan d’eau, des sporophiles déjà vus à l’aller, un puis deux Tyranneaux des torrents (Serpophaga cinerea), superbe de contraste sur la terre ou sur l’herbe, beaucoup moins sur la rocaille.

     

Le Tyran sociable (Myiozetetes similis) et son cousin le Tyran mélancolique (Tyrannus melancholicus) seront les deux dernières espèces rencontrées avant de remonter dans le car.

    

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Tyranneaux des torrents (Serpophaga cinerea)

     

Et pour l’heure, direction San josé de Milpe où nous allons prendre le repas de la demi-journée proche de mangeoires ce qui nous assurera quelques belles rencontres assurément.

     

Alors, en fait de mangeoires, il s’agit plutôt de réservoirs contenant une espèce de sirop.

     

Il y a également des fruits, principalement des bananes coupées pour moitié dans le sens de la longueur et accrochées telle qu'elle à des perchoirs plus ou moins dissimulés.

     

Nous avons donc droit à une première séance d’observation, très vite interrompue par l’arrivée d’un groupe de photographe local qui se positionne entre nous et les mangeoires ce qui interdit l’approche des oiseaux de façon immédiate.

     

Un superbe mâle de Cabezón à tête rouge (Eubucco bourcierii) est tout de même repéré et « mitraillé » par les gens devant nous, puis ils quittent tous la place en même temps.

   

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Cabezón à tête rouge (Eubucco bourcierii)

     

Moins de deux minutes plus tard, les apparitions d’oiseaux recommencent, le Calliste à gorge rousse (Tangara rufigula) est le premier, un magnifique mâle suivi des tangaras, évêque et des palmiers.

     

Pour les oiseaux-mouches, la Coquette à queue fine (Discosura conversii), le Colibri jacobin (Florisuga mellivora) et la Dryade couronnée (Thalurania colombica) sont dans les tous premiers ce qui créé forcement l’émerveillement parmi nous.

     

Nous sommes appelés pour le déjeuner et nous y allons en commentant les merveilleuses rencontres de la matinée, quelle beauté, quelle élégance dans les couleurs.

    

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Ariane de francia (Amazilia franciae)

     

Comme toujours, un succulent repas nous est servi, puis nous retournons observer les oiseaux pour trouver un couple de Brillant fer de lance (Heliodoxa jacula) se nourrissant à tour de rôle.

     

Une Ariane de francia (Amazilia franciae) se tient à l’écart de la virulence des gros colibris, les jacobins qui sont bien plus imposants qu’elle.

     

Un écureuil local vient voler une banane et fait fuir tous les passereaux qui se trouve là, Julien en profite pour renouveler sa proposition de balade pédestre autour du restaurant pour deux espèces assez rares et très localisées pour ne pas dire endémique.

               

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La promenade ne donnera rien, les raretés resteront cachées et nous rejoindrons le nôtre groupe au mangeoires.

   

A peine avons-nous rejoint le point de nourrissage que notre guide aperçoit le Toucan choco (Ramphastos brevis) et une espèce d’organiste déjà vu ce matin celui à ventre orange entre autres.

     

Sur une branche fine, un Colibri grivelé (Taphrospilus hypostictus) prend la pose, l’autofocus de mon appareil commence à être à la peine, mais tient encore la ligne pour ce que j’espère de belles photos souvenir.

    

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Colibri grivelé (Taphrospilus hypostictus)  

    

Le Calliste safran (Tangara icterocephala) tranche par sa couleur jaune vif et le Tangara à nuque jaune (Anisognathus somptuosus) bien plus contrasté avec ses trois couleurs dominantes.

     

Un peu plus tard c’est au tour du Tangara à gallons blancs (Tachyphonus rufus) de se présenter sur les fruits mis à dispositions et le régale est pour nous.

     

Julien nous montre l’Organiste à bec épais (Euphonia laniirostris) et nous demande de regarder les différences avec son cousin à ventre orange qui se tient à l’autre bout du perchoir.

     

Les Guit-guit émeraude (Chlorophanes spiza) sont fabuleux bien que pas du tout émeraude pour mon goût, car plutôt vert pomme pour la femelle et bleu lagon pour le mâle.

     

La visite d’un, puis de deux Araçaris à collier (Pteroglossus torquatus) met tout le monde d’accord, c’est la débandade générale et tous les petits oiseaux vont se réfugier dans la végétation périphérique.

   

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Araçaris à collier (Pteroglossus torquatus)

   

Un trait sombre passe à une allure folle, fait un virage extraordinaire au raz des buissons et se pose comme une fleur, un Ermite yaruqui (Phaethornis yaruqui ) vient d’arriver.

         

Il est assez loin de moi et qui plus est dans une zone ombragée, qu’importe, je tente de l’immortaliser avant de river les jumelles sur mes yeux pour mieux apprécier sa présence.

   

Comme le temps passe vraiment vite, trop vite, le Calliste à nuque d'or (Tangara ruficervix) et l’Ariane, celle à ventre gris, seront les deux dernières espèces observées avant que julien ne nous demande de remonter dans le bus pour aller sur un nouvel endroit et retenter l’observation de la Caurale manquée ce matin.

   

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Ermite yaruqui (Phaethornis yaruqui )

     

Nous retrouvons donc la jeune guide de ce matin qui nous conduit sur un autre spot, où nous laissons notre véhicule pour continuer un peu à pied.

     

Nous, nous positionnons sur un petit pont de pierre et scrutons les rives avec de temps à autres des alertes infondées, restera un superbe lézard assez mystérieux avec une tête qui ne va pas avec son corps.

 

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Groupe sur le pont

     

Quelques tyranneaux passent, il y a même un motmot à proximité qui se laisse entendre et apercevoir par contorsion pour les plus souples d’entres nous.

     

Deux petites taches gris clair dénonce le tyranneau, ceux des torrents et Mauricio, repère un oiseau-mouche loin au-dessus du tumulte des eaux.

     

Nous avons du mal à le repérer, puis enfin Julien le fixe également et nous explique son emplacement, il s’est positionné pour la nuit.

   

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Lézard

     

Assez haut dans les airs, un cri nous fait lever les yeux au ciel pour voir passer trois puis quatre Vanneaux de téro (Vanellus chilensis), devant mon ma mine dépitée, Julien m’affirmera une meilleure observation plus tard et plus, bien plus haut.

     

Les photos de mauvaise qualité, pour manque de lumière cruciale, aideront quand même plus tard à dénommer le Porte lance de Louise (Doryfera ludovicae), une espèce de colibri que nous n’avions pas encore contactée.

     

Cette dernière sera vraiment l’ultime espèce rencontrée pour la journée forte en contrastes de tous genres encore une fois.

     

     

1)     Calliste à cou bleu

2)     Tangara à bec d’argent

3)     Hirondelles Bleu et blanc

4)     Pionne noire

5)     Fourniers cannelles

6)     Motmot roux ●

7)     Parulines triligne ●

8)     Paruline à gorge orangée ●

9)     Anabate à lunettes ●

10)   Organiste à ventre orange ●

11)   Motmot à bec large ●

12)   Araçari à bec clair ●

13)   Toucans tocar ●

14)   Bruant chingolo

15)   Troglodyte familier

16)   Tangaras évêques

17)   Moucherolle aquatique

18)   Aigrette neigeuses

19)   Tersine hirondelle ●

20)   Calliste rouverdin ●

21)   Oriole leucoptère

22)   Calliste doré ●

23)   Pic or-olive

24)   Dacnis à coiffe bleue ●

25)   Milans bec en croc

26)   Ariane à ventre gris

27)   Cassique cul jaune

28)   Pénélope panachée

29)   Tangara à gorge jaune ●

30)   Dacnis à coiffe bleue

31)   Synallaxe de Cayenne ●

32)   Tangara bifascié

33)   Tangara des palmiers

34)   Sucrier à ventre jaune

35)   Tyranneaux des torrents ●

36)   Tyran sociable

37)   Tyran mélancolique

38)   Cabezón à tête rouge ●

39)   Calliste à gorge rousse ●

40)   Coquette à queue fine ●

41)   Colibri jacobin ●

42)   Brillant fer de lance ●

43)   Ariane couronnée ●

44)   Ariane de francia ●

45)   Toucan choco ●

46)   Colibri grivelé ●

47)   Calliste safran ●

48)   Tangara à gallons blancs ●

49)   Tangara à nuque jaune ●

50)   Organiste à bec épais ●

51)   Guit-guit émeraude ●

52)   Araçari à collier ●

53)   Ermite yaruqui ●

54)   Calliste à nuque d'or ●

55)   Vanneaux de téro

56)   Porte lance de Louise ●



30/04/2019
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