Séjour en Équateur : Jour 4
Bien que nous soyons installés dans un superbe hôtel face à la plage, ce n’est pas de cette dernière que nous allons profiter ce matin.
D’ailleurs, le lever est vraiment matinal, le petit-déjeuner expédier assez rapidement au point que j’ai à peine le temps d’aller faire un tour.
Notre chauffeur nous conduit dans un petit village afin d’y explorer la forêt sèche qui constitue la majorité de la végétation qui l’entoure.
Notre guide local est une jeune femme et le temps qu’elle discute avec Julien, j’observe les premiers Fourniers cannelle (Furnarius cinnamomeus) et sur un fil, quelques Hirondelles tapère (Progne tapera).
Nid de Fourniers cannelle (Furnarius cinnamomeus)
Comme les discutions dans une espèce de bureau sont en cours, je reviens sur les fourniers et leur drôle de nid qui ressemble à un petit igloo en feuilles.
Du mouvement dans un arbre voisin nous permet de contacter un couple de Grimpars de Souleyet (Lepidocolaptes souleyetii).
Couple de Grimpars de Souleyet (Lepidocolaptes souleyetii)
C’est le moment de débuter la balade qui commence par le passage d’un petit pont de bois assez rustique, puis de l’autre côté, de tourner de suite à droite direction la forêt.
Julien signale un colombidé qui passe presque inaperçue, mais à bien y regarder, cela me permet de contacter la Colombe pâle (Leptotila pallida).
Alors que tout le groupe a passé rapidement son chemin, je reste en arrière pour tenter d’immortaliser l’oiseau assez bien dissimulé dans les branches feuillues.
Colombe pâle (Leptotila pallida)
Pendant un bon moment, nous entendons des oiseaux, mais quasi impossibles de les voir, tellement la végétation au-dessus de nous est fournie et puis nous arrivons dans une clairière.
Un premier Motmot houtouc (Momotus momota) est rencontré dans la semi-pénombre du sous-bois, le second ne tarde pas à se révéler pour s’éclipser aussitôt.
Bien que trop rapide à notre gout, la rencontre reste magique, même si les photographies ne donnent pas les résultats escomptés au regard de la beauté de ce superbe oiseau.
Le réveil du Motmot houtouc (Momotus momota).
Nous laissons ces splendeurs aillées se réveiller tranquillement, puis nous continuons notre pérégrination.
Une sorte d’escalier de chèvres nous conduit dans le lit asséché d’une rivière, qui au moment de la saison des pluies, ne peut être traversée à cet endroit tellement le débit est important nous assure notre accompagnatrice.
De l’autre bord, la même végétation reprend ses droits, de petits cris nous ordonnent de scruter les branches au-dessus de nous, pour découvrir plusieurs Synallaxes à collier (Synallaxis stictothorax), mais là aussi, les vertèbres cervicales en prennent un coup.
Synallaxes à collier (Synallaxis stictothorax).
A quelques pas et à la même hauteur, une espèce de tyranneau est observée, mais sur le moment, personne n’arrive à le déterminer.
Nous serons obligés de revoir les photos un peu plus tard pour enfin donner un nom à cet oiseau.
J’entrevois ici toute l’utilité des prises de vues sur des voyages lointains qui aident réellement après coup à l’identification d’une espèce ou d’une autre même si le cliché n’est pas forcément parfait.
La promenade forestière continue et de long en long, nous pouvons avoir l’observation éphémère du passage d’un rapace dans une trouée.
Puis une nouvelle partie clairsemée nous offre un grimpar, un de l’espèce déjà observée plus tôt.
Au moment de quitter le lieu, Julien aperçois un mouvement et nous déclare le Grimpar à bec rouge (Campylorhamphus trochilirostris) tout simplement.
Grimpar à bec rouge (Campylorhamphus trochilirostris)
Le moment est plein d’incertitude, observer et photographier en même temps, le stress est intense pour cette merveille de l’évolution.
Nous continuons à avancer, escortés par des Troglodytes fasciés (Campylorhynchus fasciatus) aussi familiers que possible et surtout, très bruyants.
En contrebas de notre position, le filet d’eau résiduel de la rivière, est plus important au point de constituer une petite retenue.
Cela suffit à la Grande aigrette (Ardea alba) pour tenter de capturer quelques petits poissons ou batraciens restés prisonniers.
D’autres rapaces aperçus furtivement, puis dans une nouvelle clairière, la Moucherolle de Gould (Pyrocephalus obscurus) est observée.
La première rencontre concerne une femelle et au bout de quelques instants, c’est le mâle qui apparaît dans toute sa magnificence.
Femelle de Moucherolle de Gould (Pyrocephalus obscurus)
Un autre petit passereau familier nous rejoint, c’est bien sûr le Gobemoucheron tropical (Polioptila plumbea), un sympathique petit oiseau qui devait croire qu’il nous manquait.
Le sous bois, regorge de vie, même si parfois il faut faire un gros effort pour localiser ses habitants, tel le Trogon à queue blanche (Trogon viridis) femelle.
Elle reste complètement immobile sur sa branche en roulant un œil inquisiteur dans toutes les directions à la recherche d’un prédateur éventuel.
Plus loin un Batara de Bernard (Thamnophilus bernardi) en plumage nuptial, nous regarde avec curiosité avant de disparaitre dans l’enchevêtrement des branches.
Batara de Bernard (Thamnophilus bernardi).
Des petits passereaux ici et là, sont observés, mais impossible de leur fournir une identification certaine, c’est également le cas pour plusieurs oiseaux-mouches non reconnus avec certitude pour le moment.
Par contre, aucun doute sur le Sucrier à ventre jaune (Coereba flaveola) même si la photo n’est pas possible pour moi, j’en ai déjà vu en Guyane lors d’un voyage précédent.
Un Tyranneau passegris (Camptostoma obsoletum) vient se percher assez haut et en contre-jour, la photo prise, je demande de l’aide pour m’aider à reconnaitre l’espèce, mais les deux accompagnateurs sont occupés et l’oiseau fini par disparaitre.
Un petit cri nous fait lever la tête et nous captons du regard un Platyrhynque jaune-olive (Tolmomyias sulphurescens) vraiment furtif et la quiétude du moment ne dure pas.
Platyrhynque jaune-olive (Tolmomyias sulphurescens)
En effet notre jeune accompagnatrice nous interpelle énergiquement, elle vient d’entendre un cri plutôt qu’un chant qu’elle reconnaît à coup sûr.
C’est tout simplement, celui d’une Ortalide à tête rousse (Ortalis erythroptera).
En fait, il y en a plusieurs et cela cause un mouvement de notre groupe assez précipité pour avoir la meilleure observation possible de cette belle rencontre.
Ortalide à tête rousse (Ortalis erythroptera)
Les photos prises et réussies, sont montrées à ceux qui le désirent, puis les oiseaux de la taille d’une bonne poule, s’envolent lourdement dans un autre arbre pour échapper à notre regard.
Encore des grimpars, toujours des « souleyet », puis une Buse échasse (Geranospiza caerulescens) est localisée par Pascal il me semble.
Buse échasse (Geranospiza caerulescens)
Le rapace se laisse observer dans de bonnes conditions et pas trop loin de notre position.
Au-dessus de nous, des turdidés passent rapidement au sommet de la canopée, difficile de faire des observations dans ces conditions.
A un moment c’est plus facile et la possibilité de leur tirer le portrait nous permet d’ajouter à notre liste de rencontre le Merle de Reeve (Turdus reevei).
Merle de Reeve (Turdus reevei).
Plus loin dans la forêt, des cris sont perçus, ce sont les appels du Milan bec-en-croc (Chondrohierax uncinatus).
Nous n’en serons certains qu’au terme d’une recherche de plusieurs minutes et le rapace sera localisé, haut et masqué par de multiples branches.
Milan bec-en-croc (Chondrohierax uncinatus).
Après un moment de marche, nous arrivons sur un endroit avec des constructions et un bassin d’eau sentant le souffre, cela ressemble à une station thermale, les plantes qui se trouvent là, sont superbes.
Plusieurs oiseaux-mouches sont présents et se déplacent à des vitesses vertigineuses, n’offrant que peu de chance de les pixéliser en plein vol.
Parfois la chance sourit aux photographes à l’occasion d’un surplace aérien dont ces petits bolides ont le secret.
Ici aussi, les superbes lézards locaux attirent mon attention, ce qui me permet d’échanger avec Malou sur les différents réglages suivant la situation.
En sortant de cette sorte de village, Julien nous signale la présence d’un Tyran de Baird (Myiodynastes bairdii) très bien exposé et peu furtif.
Tyran de Baird (Myiodynastes bairdii)
Tout le monde profite de la nouvelle rencontre et l’oiseau nous y autorisant, les photographes lui tirent le portrait.
Des Hirondelles à gorge rousse (Stelgidopteryx ruficollis) sont aperçues du haut d’une tour d’observation alors que des Vachers luisant (Molothrus bonariensis) nous fuient mollement.
De la plateforme d’observation, le paysage est saisissant, tout ou presque est sec, la forêt porte bien son nom.
Pigeons rousset (Patagioenas cayennensis) sur fond de forêt sèche.
Un écureuil placide, mais prudent reste tranquillement du mauvais côté de sa branche selon moi.
Sur le chemin qui nous ramène vers notre moyen de transport, un splendide Cardinal à tête jaune (Pheucticus chrysogaster) prend la pose quelques secondes, le temps d’un cliché puis s’envole.
Cardinal à tête jaune (Pheucticus chrysogaster)
Des fourniers, toujours des cannelles dans cette partie du pays, construisent leur nid avec des feuilles pour une structure assez curieuse.
Au même endroit des Cassiques cul-jaune (Cacicus cela) animent le sous bois de leurs cris retentissants.
Mâle de Moucherolle de Gould (Pyrocephalus obscurus)
Un grimpar nous montre ses facultés d’acrobate et une nouvelle moucherolle au plumage rouge et noir vient se nourrir au sol.
Un nouveau motmot, comme celui déjà vu ce matin, mais dans une bien meilleure lumière ne s’occupe même pas de nous quand nous passons sous sa branche.
Motmot houtouc (Momotus momota).
Les Tourterelles oreillardes (Zenaida auriculata) sont légion dans ce coin-là ainsi que les Pigeons rousset (Patagioenas cayennensis).
Dans le même arbre, un Tangara des palmiers (Thraupis palmarum), un Tangara évêque (Thraupis episcopus) et un Oriole leucoptère (Icterus graceannae) semblent vivre un moment en parfaite osmose.
Un groupe de Colombe à bec jaune (Columbina cruziana) s’envole à notre approche pour aller se brancher plus loin.
Un Sourciroux mélodieux (Cyclarhis gujanensis) passe de branche en branche et fini malgré tout par être stoppé pour l’éternité à l’aide de l’appareil photos.
Sourciroux mélodieux (Cyclarhis gujanensis)
Nous arrivons enfin au mini bus et nous comprenons le pourquoi de la musique que nous entendions depuis ce matin, c’est tout simplement une cérémonie funéraire.
Pour ma part, j’abaisse mon appareil photo par respect quand le cercueil passe de maison en maison certainement pour un dernier adieu au défunt.
Le retour à l’hôtel se fait tranquillement et avant le repas du midi, nous allons sur le terrain de foot local pour y revoir la Sturnelle du Pérou (Sturnella bellicosa).
Sturnelle du Pérou (Sturnella bellicosa)
Certainement la femelle que j’avais vu la veille, mais cette fois-ci dans de superbes conditions.
À la fin du repas de midi, Pascal fait des photos d’une Ariane de Lesson (Amazilia amazilia) qui virevolte de fleurs en fleurs sous nos yeux, Malou et moi tentons de faire de même.
Pascal me montre également une espèce de conglomérat de ce qui pourrait être des punaises, elles sont splendides et je fais une photo pour le souvenir.
Pendant que les participants qui ne l’ont pas fait avant, vident leur chambre, les autres vont faire un tour sur la plage et c’est la bonne idée du moment.
Un couple de Bihoreaux violacés (Nyctanassa violacea) arrivé d’on ne sait où est là devant nous à quelques dizaines de mètres, commencent à arpenter la plage.
L’un d’eux s’éloigne rapidement comme s’il courrait après quelque chose d’invisible pour nous, l’autre se met en chasse sur les crabes de la plage avec une réussite certaine.
Bihoreaux violacés (Nyctanassa violacea).
Il en capture un petit lui assène un violent coup de bec et l’englouti d’un seul trait.
Le second crustacé bien plus gros, reçois quant à lui une volée encore plus énergique, mais a du mal à passer dans la gorge du goinfre.
Une fois repus, les deux petits ardéidés s’envolent en raz motte et finissent par disparaitre sur fond de vagues.
Je ne suis pas nostalgique pour un rond, mais un coq sur un toit me fait penser un instant à la maison, comme un petit clin d’œil.
Je me recentre sur mon pôle d’intérêt qui est l’observation des oiseaux, en regardant une hirondelle sur le fil devant l’hôtel.
Une petite balade collégiale vers le terrain de foot est engagée par tout le monde, les Touis célestes (Forpus coelestis) sont un peu partout.
Dans les arbustes où leur plumage se confond par mimétisme, ainsi que sur les toits des habitations d’où ils sont bien plus visibles.
Dans les buissons à l’extrémité de la zone de sport, plusieurs Moqueurs à longue queue (Mimus longicaudatus) sont concentrés comme autant de spectateurs.
A notre approche, ils quittent un à un leur perchoir et une observation attentive de l’arbrisseau nous permet de contacter une femelle de Phrygile à queue barrée (Phrygilus alaudinus).
Phrygile à queue barrée (Phrygilus alaudinus).
L’heure du départ approche et nous remontons vers l’hôtel, à quelques distances de nous, un nouveau moqueur s’affiche, plutôt inquiet.
Personne n’y prête attention, mais moi je lui trouve une attitude curieuse, je le fixe dans les jumelles.
J’annonce un Géocoucou tacheté (Tapera naevia) en français, confirmé dans la seconde par julien, mais dans la langue de Shakespeare.
Géocoucou tacheté (Tapera naevia).
Alors qu’une partie de notre petit groupe s’éloigne, Malou et moi restons pour tenter d’immortaliser le volatile dans différentes attitudes.
Un crochet par la plage nous offre l’Aigrette neigeuse (Egretta thula) « chassant dans les vagues, et surtout les superbes petits crabes appréciés des bihoreaux.
C’est le départ, nous quittons ce fabuleux hôtel où nous avons été reçus comme des princes et même les dogues allemands nous font la fête comme s’ils comprenaient que nous ne revenions pas cette fois-ci.
Sur la route qui nous conduit à notre prochain lieu de repos, nous sommes souvent contrôlés par les forces de l’ordre.
Assurément, cela fait perdre du temps, mais à contrario, vu de ma fenêtre, c’est aussi un gage de sécurité assurée.
Chaque ralentisseur nous offre son lot de vendeurs ambulants, ici des fruits, là des boissons, plus loin des journaux ou même des couteaux.
Un petit arrêt sur un bassin en bord de route nous apporte en terme d’observation tour à tour le Héron strié (Butorides striata), sur un morceau de bois planté au milieu de l’eau.
Héron strié (Butorides striata).
Dans les herbes aquatiques, le Jacana noir (Jacana jacana), nous dévoile le fort contraste de ses ailes.
La Talève violacée (Porphyrio martinica) bien plus timide se camoufle dans la végétation afin de se soustraire à notre regard.
Côté limicole, c’est peu fourni, des Échasses d’Amérique (Himantopus mexicanus), et un Chevalier grivelé (Actitis macularius) cherchent tout comme un groupe important d’Ibis falcinelle (Plegadis falcinellus) leur pitance.
Il commence à faire un peu sombre et je déclenche le courroux d’un « photographe » du groupe bien involontairement, en passant devant lui comme si je lui avais fait rater le prix Nobel de photographie.
J’en apprends un peu plus sur la valeur humaine à cette occasion, mais cela ne m’étonne même pas.
Je reviens aux oiseaux et les dépassant tous et de loin, le Héron cocoi (Ardea cocoi) se pose et les Gallinules d’Amérique (Gallinula galeata) s’écartent précipitamment.
Dans les airs au-dessus de nous, nombres d’Hirondelles rustiques (Hirundo rustica) décrivent des cercles dans le ciel et leurs cousines les Hirondelles de fenêtre (Delichon urbicum) font de même.
Hirondelles rustiques (Hirundo rustica) juste avant la nuit.
A l’opposé de la pièce d’eau, il y a de l‘animation, les Aigrettes bleues (Egretta caerulea), Aigrettes tricolores (Egretta tricolor) ainsi qu’une Grande, semblent vivre en parfaite harmonie avec les Sarcelles à ailes bleues (Spatula discors).
Au loin, sur un pylône HT un Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) se prépare pour sa nuit alors qu’un Tantale d’Amérique (Mycteria americana) passe nonchalamment en vol derrière le premier.
Un dernier regard me permet de repérer un Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) et plus loin une « neigeuse ».
Enfin un Milan des marais (Rostrhamus sociabilis) au milieu de tout ce petit monde posé sur un piquet.
Juste avant l’envol du « cocoi », trois Anis à bec lisse (Crotophaga ani), sont aperçus au sommet d’un buisson, ce sera la dernière espèce contactée de la journée.
Il est temps de repartir car en Équateur, la nuit « tombe » en un instant, heureusement nous somme maintenant assez proche de notre nouvel hébergement.
Pour cette nuit, ce sera une ferme dont une partie a été transformé en gite avec piscine.
1) Fourniers cannelle
2) Hirondelles tapère
3) Grimpars de Souleyet •
4) Colombe pâle •
5) Motmot houtouc
6) Synallaxe à collier •
8) Grimpar à bec rouge •
9) Troglodytes fasciés
10) Grande aigrette
11) Moucherolle de Gould
12) Gobemoucheron tropical
13) Trogon à queue blanche
14) Batara de Bernard •
15) Sucrier à ventre jaune
16) Tyranneau passegris
17) Platyrhynque jaune-olive •
18) Ortalide à tête rousse •
19) Buse échasse •
20) Merle de Reeve •
21) Milan bec-en-croc
22) Tyran de Baird •
23) Hirondelles à gorge rousse
24) Vachers luisant •
25) Cardinal à tête jaune •
26) Cassiques cul-jaune
27) Tourterelles oreillardes •
28) Pigeons rousset
29) Tangara des palmiers
30) Tangara évêque
31) Oriole leucoptère •
32) Colombe à bec jaune •
33) Sourciroux mélodieux •
34) Sturnelle du Pérou •
35) Ariane de Lesson •
36) Bihoreau violacé •
37) Touis célestes
38) Moqueurs à longue queue
39) Phrygile à queue barrée •
40) Géocoucou tacheté
41) Héron strié
42) Jacana noir
43) Talève violacée
44) Échasses d’Amérique
45) Chevalier grivelé
46) Ibis falcinelle
47) Héron cocoi
48) Gallinules d’Amériques
49) Hirondelles rustiques
50) Hirondelles de fenêtre
51) Aigrettes bleues
52) Aigrettes tricolores
53) Sarcelles à ailes bleues
54) Balbuzard pêcheur
55) Tantale d’Amérique
56) Bihoreau gris
57) Milan des marais
58) Anis à bec lisse
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