Oiseaux-balades

Oiseaux-balades

Balade au Costa Rica - J2

                       

Ce Matin, il fait encore nuit quand je me lève et l’activité humaine est réduite au minimum quand je sors de ma chambre, où mon colocataire Gérard, dort encore.

                              

Je prends mon APN, mon petit bricolage associé et mes jumelles, mon calepin et me dirige vers le bord du Rio Serpei.

                              

Le secret espoir de d'observer les engoulevents passer dans le sens opposé à la veille m’anime, mais malgré plus d’une demi-heure d’attente, pas l’ombre de la queue d’un insectivore nocturne au vol.

                              

Un camion de ramassage des déchets ménager passe près d’un bosquet et fait décoller un oiseau de grande taille que je capte au mouvement l’espace d’un instant.

                              

Me dirigeant vers le lieu supposé, où il s’est branché, je me prépare pour tenter de l’immortaliser quel qu’il soit et le retrouve sans trop de difficulté malgré la pénombre régnante sous les grands arbres.

                         

Buse noire (Buteogallus anthracinus) juvénile.

                              

Alors pour commencer, c’est un rapace diurne, mais je n’en reconnais pas l’espèce de suite.

                              

Plus tard, Sylvère me fournira des informations et ce n’est qu’avec l’aide finale de Jean-François, en France après notre retour, que son identité sera affirmée.

                              

Donc le juvénile de Buse noire (Buteogallus anthracinus) qui est revu un peu plus tard sur un câble, est ma première rencontre de la matinée et les Quiscales à longue-queue (Quiscalus mexicanus) commence à se manifester bruyamment.

                                

Buse noire (Buteogallus anthracinus) juvénile.

                              

Le jour commençant à poindre et  toute la vie s’anime pour voir les Hérons garde-bœufs (Bubulcus ibis), partir loin en vol.

                  

Plus proche du sol, le Merle fauve (Turdus grayi) commence à chanter et le Troglodyte familier (Troglodytes aedon) capture ses premières proies de la journée et la Paruline obscure (Leiothlypis peregrina) faisant de même.

                                

Troglodyte familier (Troglodytes aedon)

                              

Les chants se font plus volumineux et des formes se déplacent dans tous les sens, mes yeux et mes oreilles sont chahutées par tant de vivacité.

                              

J’arrive tout de même à pixeliser une femelle de Sporophile

                         

                              

Un Moqueur des savanes (Mimus gilvus) est aperçu au même endroit que celui de la veille, puis en retournant vers l’hébergement, les Hirondelles chalybées (Progne chalybea) et le Tyran sociable (Myiozetetes similis) sont ajoutés à la liste des rencontres journalières.

                              

Les membres de l’équipée sont presque tous présents au point de restauration pour le petit déjeuner et une fois celui-ci consommé, c’est le moment d’embarquer pour une balade sur le fleuve.

                              

Les premières Hirondelles des mangroves (Tachycineta albilinea) sont contactées rasantes à la surface du cours d’eau et assez loin, des Aigrettes bleues (Egretta caerulea) s’agitent dans les arbres sur lesquels elles viennent de passer la nuit.

                 

Hirondelles des mangroves (Tachycineta albilinea).

                              

Notre pilote nous emmène justement les voir, il y a là, des adultes et des juvéniles pour ceux qui ne se sont pas enfuis à notre approche.

                              

Dans les airs, il y a également l’Urubu à tête rouge (Cathartes aura) qui décrit des cercles, son cousin l’Urubu noir (Coragyps atratus) semble finir tranquillement sa nuit.

                              

Alors que notre embarcation avance doucement, un Pigeon rousset (Patagioenas cayennensis) nous surveille avant de finir par s’enfuir à tire-d’aile et bien plus placide, l’Ibis blanc (Eudocimus albus) ne se déplace que d’un mètre pour prendre de la distance.

                      

Pigeon rousset (Patagioenas cayennensis)

                              

Ici, les Iguanes verts (Iguana iguana) sont le plus souvent vus posés dans les branches des arbres et assez haut encore ainsi que sur l’autre rive, plusieurs couples d’Amazones à diadème (Amazona diadema) en parfait contrejour.

                              

Sur un premier filin d’acier passant par-dessus le fleuve, une guirlande d’Hirondelle à gorge rousse (Stelgidopteryx ruficollis) est présente, sur le suivant, un Martin-pêcheur d’Amazonie (Chloroceryle amazona) femelle scrutant l’onde en dessous d’elle.

                                                

Martin-pêcheur d’Amazonie (Chloroceryle amazona) femelle

                              

Notre petit bateau avance sans déranger un Bihoreau violacé (Nyctanassa violacea) qui parait pêcher les pattes dans l’eau, ce sera le premier d’une belle série d’observations et que dire du Héron vert (Butorides virescens) que nous verrons à maintes reprises.

                              

Une Paruline orangée (Protonotaria citrea) est contactée, ensuite Sylvère de nous expliquer les mœurs de cette petite fauvette américaine que l’on ne trouve que dans un biotope comme celui où, nous, nous trouvons.

                              

Tandis que je suis du mauvais côté du bateau, j’en manquerais la photo, mais une nouvelle chance se présentera plus tard, idem pour les Conure de Finsch (Psittacara finschi) que l’on observe assez souvent.

               

                              

Deux Orioles des vergers (Icterus spurius), sont contactés alors qu’ils sont vus en transparence derrière le haut du feuillage puis brusquement ils changent de support, pour un moins élevé, en revanche plus éloignés.

                              

Bien plus grosses, les Ortalides à têtes grises (Ortalis cinereiceps) sont parfaitement identifiées au moment de leur fuite dû à notre approche.

                              

Pour l’heure, Grande aigrette (Ardea alba) et Aigrette neigeuse (Egretta thula) sont facilement observées grâce à leur proximité et de long en long, je montre les photos que je réussis, au guide costaricien ainsi qu’à notre pilote.

                       

Grande aigrette (Ardea alba)

                              

Il n’y a pas de temps mort, les ardéidés sont rapidement remplacés par une première Talève violacée (Porphyrio martinica) juvénile puis par d’autres, des adultes cette fois-ci.

                              

Sylvère nous montre un superbe Basilic (Basiliscus basiliscus) la localisation millimétrique m’autorise une belle prise de vue malgré, le roulis du bateau et par chance, le lézards Jésus-Christ ne s’enfuit pas pour une sympathique miroise collégiale.

                                       

Basilic (Basiliscus basiliscus)

                              

Un Tyran mélancolique (Tyrannus melancholicus) de même qu'un Oriole du nord (Icterus galbula), cassent la dynamique des ardéidés toutes espèces confondues et l’instant d’après, c’est un Singe hurleur () qui attire notre attention.

                              

Ce dernier à une taille assez importante pour ne pas être manqué et à bien le regarder, je me demande qui observe qui !

                                

Singe hurleur ()

                              

Une nouvelle paire d’iguanes est longuement observée sur une branche au-dessus du fleuve, puis à un moment, je me retourne vers le pilote et j’avise le livre guide des oiseaux du Costa Rica à une longueur de bras.

             

                              

Je l’attrape ensuite ni une ni deux, je cherche la page des Ardéidé N° 63 ou similaire, je montre du doigt le dessin de l’oiseau en demandant dans un anglais approximatif si cela est possible ici.

                              

L'avis est présenté à l’homme qui tient la barre, qui nous l’annonce pour dans environ 20 mm, ce qui me ravit franchement et plusieurs collatéraux de me questionner sur ce que j’ai montré sur le livre.

                              

Je lance simplement «  le savacou » après quelques minutes, la pirogue fait demi-tour ensuite les mêmes espèces sont remarquées, mais quand le bateau stop proche d’un grand arbre, c’est pour découvrir un Ibijau gris (Nyctibius griseus)  complètement statique.

                      

Ibijau gris (Nyctibius griseus)

                              

C’est la folie à bord, chacun y va de son commentaire, de sa miroise ou de sa prise de vue, on se demande comment le guide a pu le remarquer tellement il est mimétique.

                              

Quelques personnes me lancent des regards en coin et j'en viens à m'interroger si je n'ai pas imposé mon envie de façon trop cavalière à l'ensemble du groupe.

                              

L’instant d’après, c’est un superbe Martin-pêcheur à ventre roux (Megaceryle torquata) qui s’affiche devant nous puis le Râle de Cayenne (Aramides cajaneus) arpente la rive, me font oublier le sujet.

                       

Martin-pêcheur à ventre roux (Megaceryle torquata)

                              

Encore des aigrettes, des bleues, des talèves, des Tyrans quiquivi (Pitangus sulphuratus) et surtout, une sublime paruline, une orangée comme celle que nous avons déjà observée.

                              

Je suis aux anges, je n’ai pas manqué l’occasion une seconde fois, je crois avoir réussi un beau cadrage malgré ma position et cela fera la rue Michelle pour moi.

              

Paruline orangée (Protonotaria citrea)

                              

De son côté le chef de bord montre un reptile installé dans les branches, j’y trouve un certain intérêt, essentiellement dans les explications de Sylvère.

                              

Un Caracara à tête jaune (Milvago chimachima) cercle un moment avant d’aller se faire une toilette en haut d’un grand arbre.

                   

Ara rouge (Ara macao)

                              

Nous entrons dans un bras d’eau pour nous enfoncer sur une zone plus couverte, un oiseau-mouche passe rapidement, un Ermite de Rucker (Threnetes ruckeri) sera reconnu par Sylvère, je n’en verrais que l’ombre, rien de plus.

                              

Plus loin, il semble que nous pénétrions sur le territoire des Aras rouges (Ara macao), il y en a tout un groupe avec en prime une observation d’un individu dans une cavité.

                              

Une masse dans l’eau est montée par l’un des Costariciens, rien de moins qu’un Crocodile américain, pas le moment de mettre la main ou autre chose à l’eau.

                   

Crocodile américain ()

                              

Dans une courbe du fleuve, sur un banc de sable, une Aigrette tricolore (Egretta tricolor), un Vanneau téro (Vanellus chilensis), des Bécasseaux minuscules (Calidris minutilla), des Jacanas du Mexique (Jacana spinosa), sont présents.

                              

Plus loin, un Canard musqué (Cairina moschata) est vu, reste que le blanc sur sa poitrine, fait plutôt pensé à un issu de captivité ou férale, ce qui est possible.

                         

 

 

Martin-pêcheur vert (Chloroceryle americana)

                              

Le Martin-pêcheur vert (Chloroceryle americana) qui suit, lui ne soulève aucun doute sur son identité, les points blancs sur son plumage vert en témoignent et l’absence de roux sur la poitrine, nous indique une femelle.

                              

Encore plusieurs belles observations d’espèces déjà rencontrées et notre bateau ralenti avec la demande expresse de faire le moins de bruit possible.

                              

Nous sommes tout simplement arrivés sous les arbres qui abritent un dortoir de Savacous huppés (Cochlearius cochlearius) l’une des espèces phares de mon voyage au Costa Rica.

                       

Savacous huppés (Cochlearius cochlearius)

                              

Cependant, je n’y avais pas réellement cru et sans mon audace pour le demander, nous l’aurions peut-être manqué.

                    

Savacous huppés (Cochlearius cochlearius)

                              

Pour l’heure, ce sublime petit héron avec ses yeux magiques est bien devant nous, et en fait, ils sont même plusieurs.

                              

Tout à nos observations, quelqu’un repère un alignement de belles chauves-souris, elles sont alignées les unes derrière les autres, est avec les yeux ouverts, toutefois elles restent immobiles.

                      

                              

Nous passons un bon moment avec les aras et un Caïman à lunette (Caiman crocodilus) est repéré en nous dirigeant sur lui, un sublime Onoré du Mexique (Tigrisoma mexicanum), est mis en évidence, totalement immobile.

                              

Il était invisible, nous resterons avec lui quelques instants et il finira par se réfugier dans le second rideau de la végétation, mais quelle rencontre.

                    

Onoré du Mexique (Tigrisoma mexicanum)

                              

En repassant sur le point de la vasière, le Bécasseau d’Alaska (Calidris mauri) vu par certains, ne sera pas retrouvé pour mon dommage, en revanche une superbe Pione tête bleue (Pionus menstruus) se laissera observer facilement.

                             

Le retour vers le point de départ bien après l’heure prévue démontre la gentillesse et la passion de nos accompagnateurs locaux.

                            

Chevalier grivelé (Actitis macularius)

                             

Ils, nous montreront pour finir cette balade, une Frégate superbe (Fregata magnificens) haut dans le ciel et un Chevalier grivelé (Actitis macularius) au bord de l’eau.

                              

Une fois débarqués et avoir remercié nos accompagnateurs du moment, nous prenons la route pour notre prochaine étape qui se trouve être la station biologique de La Gamba.

                              

Il n’y a pas de souci de circulation et nous arrivons sans encombre sur ce site verdoyant pour voir des Anis à bec lisse (Crotophaga ani) dans l’un des champs qui bordent la route.

                        

Reste un détail à régler pour avoir nos chambres, apparemment il en manque au moins deux

                              

En attendant, chacun va faire une promenade dans les alentours pour faire connaissance avec ce nouveau milieu.

                              

Des oiseaux-mouches fusent de partout pour disparaitre aussitôt et les passereaux sont présents partout et le premier que j’arrive à fixer dans mes jumelles n’est autre que le Porte-éventail du Mexique (Onychorhynchus mexicanus).

             

Porte-éventail du Mexique (Onychorhynchus mexicanus).

                              

Le contemplant un bon moment, je le détaille autant que faire se peut et un mouvement sur la gauche me fait légèrement tourner la tête dans cette direction, c’est Sylvère qui vient vers moi.

                              

Je l’interpelle pour qu’il me rejoigne et qu'il profite-lui aussi de ce superbe tyrannidé qui pour le moment reste à fixer le sol.

                 

Porte-éventail du Mexique (Onychorhynchus mexicanus).

                              

Notre guide est ravi de ma découverte, car il n’a pas vu cette espèce depuis pas mal de temps et nous avons la chance d’en profiter un petit moment.

                              

La balade dans le jardin de la station biologique se poursuit, des Tangaras des palmiers (Thraupis palmarum), une Bécarde à gorge rose (Pachyramphus aglaiae) ou un Moucherolle à ventre jaune (Empidonax flaviventris), « qui sera mis en doute à mon retour en France » est rencontré par plusieurs observateurs.

                    

Bécarde à gorge rose (Pachyramphus aglaiae)

                              

Le Guit-guit émeraude (Chlorophanes spiza) en couple ou à l’unité est bien observé pour des rencontres lumineuses à faible distance.

                              

Le Toucan tocard (Ramphastos ambiguus), lui, est impossible à confondre, pas plus que le Tangara évêque (Thraupis episcopus) ou le Grand hocco (Crax rubra).

                            

Toucan tocard (Ramphastos ambiguus)

                              

Pour ce dernier, Sylvère nous avait prévenus, « ils » se baladent comme des poules, et c’est peu de le dire, plus haut, ce sont des Callistes à coiffe d’or (Stilpnia larvata) qui animent les branches pour mon plaisir.

                        

Grand hocco (Crax rubra) Femelle

                              

Tandis que je retourne vers l’accueil, j’aperçois l’Ariane à ventre gris (Amazilia tzacatl) elle est ici omniprésente et visite fréquemment les plants de verveine et l’Emite à longue queue (Phaethornis longirostris) aussi rapide que l’éclair.

                              

Un circuit pédestre en sous bois nous est proposé, il faut aller enfiler les bottes, est le premier animal aperçu et un Basilic à bandes (Basiliscus vittatus), sans les indications de notre guide, il serait impossible à localiser.

                    

Basilic à bandes (Basiliscus vittatus)

                                                      

Sur le sentier forestier de sous-bois, nous faisons connaissance avec des fourmis coupe feuilles qui se déplacent en procession chacune avec sa portion de charge, il y a également de beaux papillons virevoltants et de petits lézards forestiers.

                              

Après un bon moment à pérégriner dans ce milieu fermé, mais ô combien vivant, une grosse averse locale s’invite.

                         

Photographier des fourmis avec un 150-600,  pas très facile pour moi^^

                              

Parti sans autre protection, je me servirais d’une feuille de bananier pour me soustraire à la colère du ciel autant que possible.

                              

L'ondée cessera et nous pourrons rencontrer au moment du déjeuner, l’Ariane charmante (Polyerata decora) Une femelle de Manakin à col orange (Manacus aurantiacus)  et surtout la Coquette adorable (Lophornis adorabilis) réputée pour ne pas être facile à observer.

                      

Coquette adorable (Lophornis adorabilis) j'adore, forcement ^^

                              

Une mangeoire minimaliste attire tout de même le Saltator des grands bois (Saltator maximus) et l’Organiste à gorge jaune (Euphonia hirundinacea) entre autres qui se délectent des fruits mis à leur disposition.

                              

L’excellent repas consommé, nous partons à pied sur la route afin de tenter des observations dans un milieu plus ouvert et le Martinet du Costa Rica (Chaetura fumosa) est contacté sur un ciel redevenu plus clément.

                 

Martinet du Costa Rica (Chaetura fumosa)

                              

Plusieurs passereaux non identifiés traversent la route, de nouveau des Tangaras de Cherrie (Ramphocelus passerinii costaricensis) dont une femelle prenant un bain dans une flaque d’eau issue de la dernière pluie.

                              

Plus loin, Colombe de Verreaux (Leptotila verreauxi) et Colombe rousse (Columbina talpacoti) sont observées au sol ou perchées assez bas pour de belles rencontres incluant également les Sporophiles variables (Sporophila corvina) assez communs ici.

                                

                              

Le Pic à couronne rouge (Melanerpes rubricapillus) est aperçu sur sa loge et un Milan à queue fourchue (Elanoides forficatus) haut dans le ciel, alors qu’un groupe de Touis à menton d’or (Brotogeris jugularis) se pose assez loin de notre position.

                              

Une nouvelle Elénie à ventre jaune (Elaenia flavogaster) est contactée ainsi que de nouveau Tyrans à tête grise (Myiozetetes granadensis) puis un Tyran audacieux (Myiodynastes maculatus), le constat est simple, les tyrannidés sont bien représentés par ici.

                              

Sylvère repère un extraordinaire Colibri féerique (Heliothryx barroti) mais je ne suis pas assez rapide pour le photographier, j’en reste donc à contempler la superbe feuille qui cache presque en totalité l’oiseau sur l’écran de mon APN.

                      

La feuile verte est belle, mais bon je visais autre chose  ^^

                              

Une Paruline jaune (Setophaga petechia)  et un Sucrier à ventre jaune (Coereba flaveola) seront les dernières espèces contactées de la journée, qui disparaitront rapidement dans l’épaisseur de la végétation.

                              

Au LOG du soir après le repas, plusieurs espèces comme le Grand Tinamou (Tinamus major), la Buse à queue rousse (Buteo jamaicensis) le Chevalier solitaire (Tringa solitaria) la Pione à couronne blanche (Pionus senilis), le Pic ouentou (Dryocopus lineatus), l’Alapi à tête nue (Gymnocichla nudiceps), et enfin le Vacher bronzé (Molothrus aeneus).

                              

La nuit sera agitée par une pluie du cru, où j’aurai un peu de mal garder le sommeil pour finir dans le hamac à l’extérieur sous l'auvent.

                              

1) Buse noire

2) Quiscales à longue queue

3) Héron garde-bœufs

4) Merle fauve

5) Troglodyte familier

6) Paruline obscure

7) Moqueur des savanes

8) Hirondelles chalybées

9) Tyran sociable

10) Hirondelles des mangroves

11) Aigrettes bleues

12) Urubu à tête rouge

13) Urubu noir

14) Pigeon rousset

15) Ibis blanc

16) Amazone à diadème

17) Hirondelle à gorge rousse

18) Martin-pêcheur d’Amazonie

19) Bihoreau violacé

20) Héron vert

21) Paruline orangée*

22) Conure de Finsch

23) Orioles des vergers

24) Ortalides à têtes grises

25) Grande aigrette

26) Aigrette neigeuse

27) Talève violacé

28) Tyran mélancolique

29) Oriole du nord

30) Ibijau gris*

31) Martin-pêcheur à ventre roux

32) Râle de Cayenne

33) Tyrans quiquivi

34) Caracara à tête jaune

35) Ermite de Rucker

36) Ara rouge

37) Aigrette tricolore

38) Vanneau téro

39) Bécasseaux minuscules

40) Jacanas du Mexique

41) Canard musqué

42) Martin-pêcheur vert

43) Savacous huppés*

44) Bécasseau d’Alaska

45) Pione tête bleue

46) Onoré du Mexique

47) Frégate superbe

48) Chevalier grivelé

49) Anis à bec lisse

50) Porte-éventail du Mexique*

51) Tangaras des palmiers

52) Bécarde à gorge rose

53) Moucherolle à ventre jaune*

54) Guit-guit émeraude

55) Toucan tocard

56) Tangara évêque

57) Grand hocco

58) Callistes à coiffe d’or*

59) Ariane à ventre gris

60) Emite à longue queue

61) Ariane charmante*

62) Manakin à col orange

63) Coquette adorable*

64) Saltator des grands bois

65) Organiste à gorge jaune*

66) Martinet du Costa Rica*

67) Tangaras de Cherrie

68) Colombe de Verraux

69) Colombe rousse

70) Sporophiles variables

71) Pic à couronne rouge

72) Milan à queue fourchue

73) Touis à menton d’or

74) Elénie à ventre jaune

75) Tyrans à tête grise

76) Tyran audacieux

77) Colibri féerique

78) Paruline jaune

79) Sucrier à ventre jaune

80) Grand Tinamou

81) Buse à queue rousse

82) Chevalier solitaire

83) Pione à couronne blanche

84) Pic ouentou

85) Alapi à tête nue

86) Vacher bronzé

                              

A) Singe hurleur

B) chauve-souris

C) écureuil

                              

A) Iguanes verts

B) Caïman à lunette

C) Basilic à bandes

D) Lézards

 



29/03/2022
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