Oiseaux-balades

Oiseaux-balades

Balade au Costa Rica - J9

                       

Ce matin, les premiers pas sur le balcon de notre chambre nous montre un mur végétal quasi impénétrable d’où n’émane que peu de bruit de la nature.

                            

Tout ce que l’on entend vient plutôt de l’autre côté du bâtiment et avec Gérard, nous sortons pour saluer comme il se doit Alain qui est déjà sur le pont.

                                                

Ce dernier à la gentillesse de nous offrir la première rencontre de la matinée, un splendide Tangara vermillon (Piranga rubra) installer au bout d’une perche au sommet d’un arbre, devant nous.

                                        

La lumière est encore passable, et nous ne reconnaissons pas de suite toutes les formes qui commencent à s’agiter dans la végétation, le Toucan à carène (Ramphastos sulfuratus) reste lus facile à identifier même en vol.

                                       

Le temps que Sylvère nous rejoigne, les engoulevents observés la veille, s’invite dans la discussion tandis que nous allons faire quelques pas sur la voie d’accès à nos logements.

                                   

Un mâle de Trogon à lunette jaune (Trogon caligatus) est entendu, puis capté du regard alors qu’il signale sa position à d’éventuels rivaux, mais ressort tout juste dans cette espèce de brume.

                           

Trogon à lunette jaune (Trogon caligatus)

                                                             

Des cassiques et des psittacidés passent en vol au raz de la canopée ensuite disparaissent aussi rapidement qu’ils sont apparus, ces derniers, par leur forme et leurs couleurs ne peuvent être que des Aras de Buffon (Ara ambiguus).

                                

Nous tentons encore une fois d’identifier des passereaux ou de plus gros oiseaux, ici où là, puis avec l’arrivée de notre accompagnateur, ce qui semble bien être des Amazones poudrées (Amazona farinosa) sont localisées dans la brume.

                        

Amazones poudrées (Amazona farinosa)

                                 

Tout le monde étant réuni autour de notre guide, le sommaire de la journée est avancé, par la suite nous montons dans le bus direction le restaurant pour le premier repas de la journée.

                 

En arrivant sur le Parking à l’entrée de la réserve, de splendides Cassique de Montezuma (Psarocolius montezuma), sont observés, en vol, puis posé sur des branches dénudées, ce qui nous permet un miroise de qualité.

                           

Montezuma (Psarocolius montezuma)

                                                  

Dans le même arbre et au fait des branches, ce sont de superbes Pigeons ramiret (Patagioenas speciosa) qui posent en majesté.

                            

Personnellement, je crois que ce sont les plus beaux oiseaux libres de cet ordre, que j’ai eu la chance de rencontrer jusqu’à maintenant.

                 

Pigeons ramiret (Patagioenas speciosa)

                       

Je garde un œil sur les colombidés, mais mon oreille a capté un morceau de conversation, des « petits blancs sont aussi perchés dans le même arbre.

                                    

Cette appellation ne m’apporte rien et je me tourne vers notre guide pour l’entendre prononcer le non magique d’une espèce que je ne pensais pas pouvoir rencontrer, des Cotingas neigeux (Carpodectes nitidus).

                             

Les jumelles collées au visage, j’observe les oiseaux pour les voir s’envoler, ni une ni deux, j'attrape mon APN qui pend au côté pour tenter de les immortaliser, avant de les voir disparaitre pour de bon.

                      

Cotingas neigeux (Carpodectes nitidus)

                                                            

Les Cassiques descendent pour plus de dix mètres, ce qui diminue d’autant la distance de miroise, et l'on s’en donne à cœur joie.

                           

Nous repérons également le ballet des Hirondelles à gorge rousse (Stelgidopteryx ruficollis), bientôt elles se posent sur les câbles de soutien de l’antenne géante qui se trouve là.

                   

Durant le déjeuner, plusieurs espèces sont contactées, des Organistes à calotte jaune (Euphonia luteicapilla), des Tyrans et bien sûr, les immanquables Tangaras évêques (Thraupis episcopus).

                           

Montezuma (Psarocolius montezuma)

                        

Alain retourne par le sentier forestier à sa chambre pour chercher ses bottes qu’il a oublié de prendre et revient avec la superbe observation d’un Grand tinamou (Tinamus major).

                                    

Ce que j’aurais aimé avoir oublié les miennes, mais bon, ainsi va la vie.

                                 

Sylvère décide de prendre la longue-vue et je l’accompagne jusqu’au parking, ce sera pour nous la miroise d’un Vacher géant (Molothrus oryzivorus), solitaire et bien en vue.

                            

Les ramirets sont toujours là, les cotingas immaculés pareillement, un guide local nous en confirme l’espèce, cependant, il sera contredit par un jeune homme de passage dans la réserve ce qui m’amusera.

                               

Pour ce matin, nous profitons de la réserve et de ces chemins aménagés, un guide animateur nous accompagnera un temps et au moment où il nous fait l’historique du site, il repère un petit oiseau.

                  

Manakin à col blanc (Manacus candei)

                                 

Il nous le montre nonchalamment du bout du doigt, comme on le ferait avec une charbonnière par chez nous, reste que là, il s’agit d’un Manakin à col blanc (Manacus candei), un superbe individu nuptial.

                            

Plus haut dans un ciel sans nuages, ce sont les Martinet à croupion gris (Chaetura cinereiventris) qui décrivent de larges arabesques, parfois accompagnés par des hirondelles.

                                       

Je tenterai quelques photos sur ces bolides aériens sans trop de conviction, puis passerai rapidement à autre chose avec l’apparition d’une paire de Tyrans sociable (Myiozetetes similis)  ensuite d’un petit groupe de Tangaras des palmiers (Thraupis palmarum).

                        

Martinet à croupion gris (Chaetura cinereiventris)

                                      

Un Araçari à collier (Pteroglossus torquatus) et un Oriole du nord (Icterus galbula) complète la liste matinale à l’instant où nous rejoignons notre groupe.

             

En passant sur la grande passerelle, les mêmes tortues aquatiques sont revues, sur des troncs ou sous l’eau.

                      

                                                             

Sans transition, sur une branche assez haut, un Dacnis bleu (Dacnis cayana) range son plumage.

                                      

Sur l’autre rive, une Ariane à ventre gris (Amazilia tzacatl) et plus loin un Tyran mélancolique  (Tyrannus melancholicus) avec un papillon dans le bec.

                        

Notre guide local tente de trouver un arbre dans lequel un paresseux était présent depuis quelques jours à peu de distance.

                                   

Pas feignant pour un rond, l’animal a pris la file de l’air, certainement dérangé par les travaux d’aménagement en cours dans le secteur.

                         

Ici, les logements des étudiants et chercheurs sont directement situés dans la réserve, et non loin de l’un d’eux, un groupe de Coracines noires (Querula purpurata) est découvert pour le plaisir de tous.

                           

Coracines noires (Querula purpurata)

                                  

Nous allons jusqu’à partager le spectacle avec un autre groupe de visiteurs et plus encore avec l’apparition d’un superbe Milan de Cayenne (Leptodon cayanensis) quand le rapace vient se poser à notre verticale.

              

Plus tard, nous reprenons notre balade pour rencontrer ici, des Pénélopes panachées (Penelope purpurascens), là des araçaris, toujours l’espèce à collier.

                  

Pénélopes panachées (Penelope purpurascens)

                             

Une femelle de manakin ne ressemblant absolument pas au mâle de l’espèce vu plus tôt dans la matinée et d’autres passereaux trop vivaces pour être identifiés occupent le même arbre.

                             

À un moment, nous entrons dans la forêt à proprement parler, mais en restant sur une espèce de chemin aménagé vraiment propre où même une personne en fauteuil roulant peut assouvir sa passion de la photographie.

                          

Sylvère nous montre un Trogon rosalba (Trogon collaris) et vu sa position juste au-dessus de nous, je suis à deux doigts de perdre mes vertèbres cervicales.

                    

                          

Bien plus facile à observer suite à une rencontre facile, des Singes araignées dont une mère avec un petit, accroché à elle, passent de branche en branche.

                            

Les reptiles ne sont pas en reste, même si nous n’en voyons pas aussi souvent que certains le souhaiteraient, parmi nous, mais cela ouvre d’autres centres d’intérêt pour moi.

               

Bothriechis schlegelli

             

De jeunes vipères, facilement reconnaissables à leur couleur jaune vif, sont observées, également des lézards de plusieurs espèces.

                 

Nous faisons demi-tour pour la fin de cette première balade en milieu forestier pour voir le Râle de Cayenne (Aramides cajaneus) tout proche des premières constructions.

               

                       

En nous dirigeant vers l’arbre des coracines, un bruit de tronçonneuse nous parvient, c’est tout simple, c’est justement l’arbre sur lequel ces magnifiques oiseaux se nourrissaient qui a été abattu, je n’en connaîtrais pas la raison.

                       

La traversée de la passerelle nous permet l’observation d’un Onoré du Mexique (Tigrisoma mexicanum) et à bien regarder ses gestes et postures, on s’aperçoit qu’il y en a un second juste au-dessus de lui qui agît de même.

                          

Plusieurs oiseaux sont pareillement présents, en commençant par le Chevalier grivelé (Actitis macularius) qui arpente les rives ou parcours les troncs à moitié immergés, par ailleurs de petits passereaux, trottinant au bord de l’eau, sont également vus.

                  

Onoré du Mexique (Tigrisoma mexicanum)

                                    

Le premier Urubu noir (Coragyps atratus)  observé de la journée est aperçu posé sur une branche à mi-hauteur, puis, il plonge et disparait à notre vue, il en va de même pour la Paruline à flancs marron (Setophaga pensylvanica) quine reste visible que par instant.

             

Perchés ou passant au-dessus du restaurant, des Pigeons à queue barrée (Patagioenas fasciata) en imposent par leur taille, en rapport à celle de Colombes de Verreaux (Leptotila verreauxi) voire celle des Pigeons à bec noir (Patagioenas nigrirostris), qui semblent plus menus.

                                  

La Colombe de Cassin (Leptotila cassinii) est quant à elle une nouvelle fois signalée, mais la tête dans les nuages, je passerais encore à côté, toutefois le Troglodyte familier (Troglodytes aedon) sera bien observé à l’approche de bâtiments.

                   

 

                  

Des oiseaux mouche, ici et là, une Colombe rousse (Columbina talpacoti) plus tranquille est pixélisée, en arrivant sur une clairière.

                         

Un fond de ciel bleu nous permet l’observation de deux rapaces montant dans les pompes et un Toucan tocard  (Ramphastos ambiguus) parais nous observer avec insistance.

                            

                  

Un petit passage par les chambres pour une micro toilette, puis un repas de midi convivial, pour ceux qui le partagent et nous voilà repartis pour un nouveau parcours en forêt, mais cette fois-ci sans le guide local.

                             

Le lumineux Guit-guit brillant (Cyanerpes lucidus) nous apparait très mobile, toujours en prospection sur des fleurs où pourchassant un congénère.

                        

Guit-guit brillant (Cyanerpes lucidus)

                   

Nous laissons là les Tyrans quiquivi (Pitangus sulphuratus) qui, ici, supportent assez bien les Tangaras à croupion rouge (Ramphocelus passerinii) ou les Callistes safran (Tangara icterocephala).

                                            

Puis, le superbe pigeon, celui à bec noir déjà observé dans la matinée et plus haut dans le ciel, le passage nonchalant d’un Urubu à tête rouge (Cathartes aura).

               

Plusieurs formes sont distinguées alors que nous quittons l’allée principale, où des Merles fauves (Turdus grayi) sont encore présents ainsi qu’un Sucrier à ventre jaune (Coereba flaveola).

                         

Pigeons à bec noir (Patagioenas nigrirostris)

                      

À un moment, notre groupe s’immobilise sur l’injonction de Sylvère, on vient de lui pointer du doigt un petit oiseau, finalement, ils sont deux, un couple de Batara à nuque noire (Thamnophilus atrinucha).

                          

Nous restons un petit moment avec eux pour les voir évoluer autour de nous et de pouvoir constater le dimorphisme sexuel du plumage assez prononcé pour cette espèce.

 

Batara à nuque noire (Thamnophilus atrinucha)

                    

Puis la balade reprend sur l’allée forestière qui bien qu’étroite, est tout à fait sécurisée.

                                

De long en long, nous voyons des fanions ou des repères qui indiquent qu’à cet endroit, des recherches scientifiques ont été menées par les chercheurs et étudiant du site.

                           

Des singes araignées sont de nouveau observés, leur agilité intrigue autant qu’elle amuse notre groupe, puis notre pérégrination continue et alors que je suis un peu en avance sur le groupe, j’aperçois un grimpar assez gros qui restera SP.

                          

Un peu avant de retrouver l’allée centrale, une femelle de Fourmilier grivelé (Hylophylax naevioides) est rencontrée, son observation sera partagée avec un couple de Français en balade sur le même sentier que nous.

                        

femelle de Fourmilier grivelé (Hylophylax naevioides)

                                 

À bonne distance, nous apercevons un regroupement et les personnes qui se trouvent là, regardent tous dans la même direction.

              

Arrivés à leur hauteur, nous verrons, nous aussi, un Motmot à bec large (Electron platyrhynchum) se balancer sur une branche pour notre plaisir.

                                                  

Nous restons un bon moment là aussi et regrettons l’absence de Gérard parti loin devant.

                   

Motmot à bec large (Electron platyrhynchum)

                               

Ce n’est qu’arrivé en France pour partager mes photos que je constaterais qu’il a vu également ce superbe oiseau au même endroit quelques minutes avant nous.

                           

Bien sûr, en quittant l’ombre de la forêt, la luminosité revient en regardant l’immensité du ciel, un puis deux rapaces sont vu tournoyant à bonne hauteur et encore au-dessus, des Martinets à collier blanc (Chaetura cinereiventris) fond de même.

                  

Quatre Urubus, des noirs passent tranquillement en formation pour un vol plané sans le moindre effort.

                            

Au niveau de l’endroit  où se trouvaient les onorés plus tôt, il y a une Grande aigrette (Ardea alba et de bruyants Aras rouges(Ara macao), traverse le fleuve pour gagner la berge opposée en vol.

                        

À l’entrée du stade de foot, nous arrêtons pour une belle rencontre avec un trio de pénélope, toujours des panachées avec une magnifique opportunité de les pixéliser.

                      

Pénélopes panachées (Penelope purpurascens)

                      

Dans les arbres au-dessus de l’endroit où est garé notre moyen de transport, le Pic de Pucheran (Melanerpes pucherani) est capté du regard, mais à une plus longue distance.

                 

Proche de la barrière d’accès, assez haut, ce sont des Touis à menton d’or (Brotogeris jugularis) que nous observons.

                       

Un nouveau Grimpar de Souleyet (Lepidocolaptes souleyetii) détourne notre attention qui change aussitôt avec l’apparition d’un Tyran à tête grise (Myiozetetes granadensis).

                                   

Tangara évêque (Thraupis episcopus)

                 

Notre bus étant garé derrière les cuisines, nous rebroussons chemin pour contacter un Évêque bleu-noir (Cyanoloxia cyanoides) qui nous fuit promptement puis un groupe de sept Hérons garde-bœufs (Bubulcus ibis) et aperçu survolant le parking.

                    

Une partie du groupe décide de retourner vers les chambres en compagnie de Sylvère, de mon côté, je reste du côté des infrastructures du site.

            

J'ajoute le Calliste à coiffe d’or (Stilpnia larvata) déjà vu ce matin, un Tangara à gallons blancs (Tachyphonus rufus), avec une observation mitigée et un Oriole monacal (Icterus prosthemelas) pour une belle rencontre.

                             

Le Sporophile variable (Sporophila corvina) bien qu’assez mobile est bien vu, le Saltator des grands bois (Saltator maximus) ainsi que le Guit-guit émeraude (Chlorophanes spiza), font une courte apparition.

                  

La pénombre commençant à descendre sur la station, les oiseaux sont plus difficilement reconnaissables pour ma part, mais l’envol de plusieurs Ibis verts (Mesembrinibis cayennensis) ne me laisse pas indifférent.

                        

Au terme d’une attente que je n’ai pas réellement vu passer, les membres du groupe reviennent pour le partage du repas et la liste des rencontres sera allongée au moment du LOG devenu coutumier.

                         

Ainsi, elle sera enrichie par l’ajout du Tinamou de Boucard (Crypturellus boucardi), le Milan bidenté (Harpagus bidentatus), la Petite buse (Buteo platypterus), le Faucon des chauves-souris (Falco rufigularis), les Conure de Hoffmann (Pyrrhura hoffmanni), la Pione à couronne blanche (Pionus senilis), Le Martinet de Cayenne (Panyptila cayennensis), le Pic à bec clair (Campephilus guatemalensis), le Pic ouentou (Dryocopus lineatus), Le Grimpar vermiculé (Dendrocolaptes sanctithomae), Le Todirostre familier (Todirostrum cinereum), Le Pipromorphe roussâtre (Mionectes oleagineus), le Manakin à cuisses jaunes (Ceratopipra mentalis), l’Hirondelle des mangroves (Tachycineta albilinea), la Paruline à aile dorée (Vermivora chrysoptera), un Calliste gris, le Dacnis à cuisses rouges (Dacnis venusta), le Tohi ligné (Arremonops conirostris), le Cardinal à ventre blanc (Caryothraustes poliogaster) et le Tangara évêque (Thraupis episcopus).

                         

 

Engoulevent pauraqué (Nyctidromus albicollis)

 

                      

L’Engoulevent pauraqué (Nyctidromus albicollis) sera évidemment la dernière espèce rencontrée sur le chemin du retour vers les chambres pour une belle nuit de sommeil réparateur.

                  

1) Tangara vermillon

2) Toucan à carène

3) Trogon à lunette jaune

4) Tangara à croupion rouge

5) Ara de Buffon

6) Amazone poudrée

8) Cassique de Montezuma

9) Pigeons ramiret *

10) Cotinga neigeux *

11) Hirondelles à gorge rousse

12) Organistes à calotte jaune

13) Tangara évêques

14) Grand tinamou

15) Vacher géant

16) Manakin à col blanc *

17) Martinet à croupion gris*

18) Tyrans sociables

19) Tangara des palmiers

20) Araçari à collier

21) Oriole du nord

22) Dacnis bleu

23) Ariane à ventre gris

24) Tyran mélancolique 

25) Coracine noires *

26) Milan de Cayenne *

27) Pénélopes panachées

28) Râle de Cayenne

29) Trogon rosalba

30) Onoré du Mexique

31) Chevalier grivelé

32) Urubu noir

33) Paruline à flancs marron

34) Pigeons à queue barrée

35) Colombes de Verreaux

36) Pigeons à bec noir

37) Colombe de Cassin

38) Troglodyte familier

39) Colombe rousse

40) Toucan tocard 

41) Guit-guit brillant

42) Tyrans quiquivi

43) Tangara à croupion rouge

44) Callistes safran

45) Urubu à tête rouge

46) Merles fauves

47) Sucrier à ventre jaune

48) Batara à nuque noire

49) Fourmilier grivelé

50) Motmot à bec large

51) Martinets à collier blanc

52) Grande aigrette

53) Aras rouges

54) Pic de Pucheran

55) Toui à menton d’or

56) Grimpar de Souleyet

57) Tyran à tête grise

58) Évêque bleu-noir

59) Hérons garde-bœufs

60) Calliste à coiffe d’or

61) Tangara à gallons blancs

62) Oriole monacal

63) Sporophile variable

64) Saltator des grands bois

65) Guit-guit émeraude

66) Ibis verts

67) Tinamou de Boucard

68) Milan bidenté

69) Petite buse

70) Faucon des chauves-souris

71) Conure de Hoffmann

72) Pione à couronne blanche

73) Martinet de Cayenne

74) Pic à bec clair

75) Pic ouentou

76) Grimpar vermiculé

77) Todirostre familier

78) Pipromorphe roussâtre

79) Manakin à cuisses jaunes

80) Paruline à aile dorée

81) Calliste gris

82) Dacnis à cuisses rouges

83) Tohi ligné

84) Cardinal à ventre blanc

85) Tangara évêque

86) Engoulevent pauraqué

 



17/06/2022
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